JONES - What the hell ?

Casey Jocelyne Robyn Jones

« Combien il est plus aisé de critiquer que d’avoir raison. »

nom • Jones, son vrai nom Cowell prénom(s) • Casey Jocelyne Robyn date et lieu de naissance • loutry-ste-chaspoule, 05 Juin âge • 16 ans école • Poudlard maison/confrérie • Gryffondor métier • écrire ici, si adulte avatar • Phoebe Tonkin crédits • Bazzart, Tumblr, Ethna	baguette • Bois de houx, 25 cm, plume de phénix balai • Nimbus 2000 épouvantard • Une barbie géante rose, un monde tout rose, des barbies qui chantent avec des geysers de notes rose patronus • Loup matière préférée • Défense contre les forces du mal matière détestée • Potions rêve d'avenir • Aurore

BEHIND THE SCREEN

ton prénom ou pseudo • JumperA ton âge • 19 ans que penses-tu de Waddi ? • Juste mythique ! mais, comment t'es arrivé là ? • Co-fonda t'as lu le règlement? • Forcément. un dernier mot d'amour? • Vive les ornithorynques !

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Casey Robyn Jones

COOL STORY BRO..

Parfois, la vie commence très mal mais s’améliore au fil du temps. Pour ma part, je ne pensais pas cela possible et pourtant, ma misérable existence a pris un tournant inattendu avec des gens encore plus barrés que moi – autant dire que je ne pensais pas ça, possible mais pourtant si. Seulement, cela arrivera par la suite de mon histoire. Il faut commencer par le début, sinon vous allez être perdu. Je suis née – tout ce qu’il y’a de plus normal, pour le moment, seulement ça se complique par la suite, mes parents m’aimaient mais pas suffisamment pour rester avec moi jusqu’à que je sois en âge de quitter le nid familiale. Mes parents ont donc divorcé, lorsque je n’avais que cinq ans. Ma mère s’est barrée autant le dire tout de suite, laissant la garde exclusive à mon père, qui s’en fichait un peu –beaucoup de moi, seulement il n’avait pas le choix, je suis sa fille, enfin sur le papier. Mon père n’était jamais là, il préférait laisser sa fortune dans le jeu d’argent ou dans d’autres endroits plus sordides.

Vous comprenez donc que ce n’était pas le grand amour entre lui et moi. J’ai dû grandir plus vite que les autres enfants, comprendre que ma vie ne serait jamais aussi belle que les autres enfants de ma classe. Je serais toujours seule, ça je l’ai bien compris. Rapidement, je me suis forgée un caractère de battante. Si personne n’était là pour mettre des baffes à ma place, je le ferais moi-même.

Jusqu’à mes onze ans, je pensais que j’allais être seule toute ma vie, jusqu’à que je reçoive la merveilleuse lettre de poudlard m’informant que j’étais admise. Ce fut l’un des plus beaux jours de ma vie, pas le meilleur mais pas le pire. Au départ, mon père n’était pas très chaud mais finalement l’idée qu’il n’aurait plus besoin de me laisser de l’argent pour que je puisse me vêtir et me nourrir, lui plus. Donc il m’acheta tout ce qu’il me fallait et me posa sur le quai de la gare, le 1 er septembre avant de s’en aller comme si de rien n’était. Ah oui et avant de tourner les talons, il me fit bien comprendre que je n’avais pas besoin de remettre les pieds chez lui, pour les vacances, ce que je n’avais en aucun cas l’envie de faire.

Une fois à poudlard, ma vie devint bien plus belle, je me surpris à être une fille extrêmement douée, moi qui me prenais toujours les mauvaises notes au primaire. Je réussis même à me faire des amis, vous vous rendez compte ? Un truc de malade. La maison qui m’accueilli fut Gryffondor, sans doute à cause de mon caractère de battante légèrement rebelle. Néanmoins, je n’allais pas me plaindre. Evidemment, je ne me plaignais et ne parlais jamais de ma famille ce qui me fut très bénéfique ces derniers temps.

Dès lors je me mis à économiser le plus d’argent possible, volant, travaillant, tous les moyens étaient les bons, quitte à me priver de nourriture pour quelques jours, il me fallait partir de l’appartement de mon père et enfin vivre ma vie. De toute façon, il ne rentrait jamais. Etait-ce en semaine, mois ? Je ne le voyais pas. De temps à autre, une enveloppe avec de l’argent était posée sur la table de la cuisine. Une fois que j’ai eu quinze ans, j’avais amassé assez d’argent pour me débrouiller seule. J’ai donc fugué. Vous pensez que mon père aurait dû lancer une alerte concernant ma disparition, au contraire, il devait en être ravi. Personne ne me posa jamais de question, j’étais alors seule mais libre ! Qui plus est, je ne voyais pas vraiment l’intérêt de parler de mes problèmes à d’autres. Seulement, un soir, je me fis attaquée par des crétins qui en voulaient à mon fric. Heureusement, un homme est intervenu avant que je finisse. Malheureusement, ces abrutis ont eu le temps de me dépouiller de ma baguette et de mon fric. Je me retrouvais à nouveau sans rien.

C’est là que ma vie prend le meilleur tournant possible, même si je n’étais pas très emballé au départ. Ce cher Callaigh me proposa un truc de dingue, quand je vous dis qu’il est barré. Pour eviter des contrôles et ainsi sauver ses miches, il me demanda de rejoindre sa « famille », ce que je finis par accepter suite à sa décision de me fournir un tôt et tout ce dont je pourrais avoir besoin, dont des fournitures et une nouvelle baguette. Je me suis donc retrouvée avec un frère, un sœur, un mère et un père complètement barré, m’enfin. Malgré que ce soit l’arnachie dans la famille et que la plus part du temps, on s’engueule, je dois bien avouer que j’aime avec eux. Je me sens enfin acceptée et bien sûr aimée, peut-être que le mot est trop fort, mais c’est ce que je ressens sans trop le montrer. J’ai trouvé en ma « maman » une véritable alliée.

Seulement maintenant que je suis une Jones, les questions commencent à naître sur les lèvres des étudiants qui ne comprennent pas pourquoi subitement je suis proche de Helena et pour d’autres petits quiproquos. En gros, c’est chaud mais si je me fais chopée, je balancerais Callaigh et puis tant pis.