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 Quand le plaisir de détruire nous envahit[PV ceux qui ont reçu un mp]

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MessageSujet: Quand le plaisir de détruire nous envahit[PV ceux qui ont reçu un mp]   Quand le plaisir de détruire nous envahit[PV ceux qui ont reçu un mp] EmptyDim 21 Oct - 14:12

Julian,
J’ai bien reçu ton oiseau, j’ai cependant mis quelques jours avant de te répondre car je trouvais la question un peu bizarre et que ça m’est sorti de l’esprit mais bon ta mère est tombée dessus et du coup j’y réponds. Heureusement qu’elle est là quelquefois. Tout d’abord j’ai découvert mon patronus un peu plus tard que toi, semble-t-il que j’ai loupé les cours de certains de mes professeurs, que je ne reçoive aucune lettre me signalant que tu marches dans les traces de ta mère ou de moi ça risquerait de mal se passer. Je ne comprends pas pourquoi tu veux savoir la forme que prend mon patronus, pour ta mère je n’en ai aucune idée, nous n’avons jamais eu cours ensemble et ce n’est pas une technique de drague que je te conseille que de demander la forme d’un patronus d’une fille. Quoi qu’il en soit je réponds à ta question. Le mien c’est un lion, j’espère que le tien est aussi intéressant même si d’après Amy, la forme que prend un patronus ne sert à rien c’est la puissance d’un magicien qui fait la différence. Qu’est-ce que cette fille est rabat joie… et pourtant, qu’est-ce que je l’aime. Si tu as d’autres questions n’hésite pas. J’espère que ta scolarité se passe bien, penses aussi à t’amuser, la jeunesse passe trop vite et il y a pleins de filles charmantes à Hogward, comme partout d’ailleurs.
Ne crois cependant pas que je regrette la vie de famille, mais ça viendra tôt ou tard ne précipite pas les choses.
Théo Gill
Serrant la lettre de son père entre ses mains caressant d’un geste maladroit le sceau qu’il utilisait pour que la provenance soit certifiée venant de lui, un soupir de mécontentement s’échappa des lèvres de Julian. Un lion, le patronus de son père gérait même s’il avait essayé maladroitement de lui remonter le moral. Il devait se douter que malgré la question débile il y avait une angoisse. Quoi qu’en fait connaissant son père il était possible que pas du tout. Il avait vu Amy il n’y avait pas longtemps et l’empreinte que cette dernière laissait dans l’esprit du père de Julian se faisait souvent ressentir par les lettres qui suivaient. Quand même il était surprenant qu’après plusieurs décennies passées loin de leur école ils aient gardé contact. Julian n’était pas sur de vouloir garder contact avec les personnes de l’école. Non pas qu’il les trouve sans intérêt bien sûr que chaque personne est utile aux autres mais voilà… Ras le bol d’entendre à tout bout de champ tu es le fils de Théo et Morgane (ou dit dans le sens inverse ça dépendait de l’émetteur de la phrase et le plus souvent que ce soit une fille ou un garçon. Difficile de répondre non à cela, la ressemblance entre l’héritier Gill et ses parents n’étaient pas à prouver et le poids de cette ressemblance en était quelques fois pesant. Il avait passé plusieurs minutes la dernière fois à regarder les coupes de Quidditch ou leurs noms étaient écris l’un en dessous de l’autre. Pas sûr non plus que ce soit eux qui aient dessinés autour de leurs nom une sorte de filament d’argent qui semblaient les lier. Rien que pour ces coupes il n’avait pas envie de jouer au Quidditch pas envie d’être comparé à eux. Bien sûr qu’ils avaient réussi, son chemin à lui était donc tout tracer mais le voulait-il vraiment il n’en savait rien.

Descendant les marches menant aux étages inférieurs, il songeait à son patronus, quelle honte cuisante que de voir qu’au lieu d’un mammifère imposant il était tombé sur un volatile. Bon certains oiseaux pouvaient faire fureur comme patronus, des aigles aux hiboux en passant par les faucons et peut être même des corbeaux mais des oiseaux de proies dont les légendes étaient connu de bon nombre de sorciers voir même de moldus mais qui avait entendu parler d’une mésange ? Oh pendant les trois premières minutes il s’était dit que son patronus était partiellement terminé et qu’il allait grandir, ses ailes prendraient de l’envergure, son corps aussi et sa tête deviendrait plus menaçante. En le regardant voler si gracieusement c’est ce qu’il avait songé très sincèrement et la voix du professeur l’avait fait redescendre sur terre. Quelle utilité avait eu ce dernier de préciser que c’était rare de voir des patronus aussi mignon. Sincèrement depuis quand demandait on, à un patronus d’être mignon ? Les filles avaient été intéressées pendant les 30 secondes par l’oiseau qui voletait dans la salle puis avaient suivi le filament d’argent reliant le patronus à la baguette et les lueurs d’étonnements qui brillaient dans leurs yeux en voyant Julian avait franchement déstabilisé le sorcier de Serpentard. Nul doute que si une armée de détraqueurs passaient à sa portée il ne se défendrait pas. Non mais si c’était pour voir ce piaf sans cerveau non merci. Pour une fois il aurait aimé tenir de son père et avoir un lion, ou bien un tigre. D’ailleurs étrange que son père si attaché à Serpentard aie le symbole de Gryffondor. Enfin semble-t-il que les limites des maisons ne l’ait pas travaillé tant que ça puisqu’il était resté en contact avec des jeunes de chaque maison.

Julian avait beaucoup plus de mal à bien s’entendre avec les autres maisons. Non pas que les personnes soient si différente de lui mais il avait en lui un grand potentiel de combativité et le proverbe « dans la vie le plus important c’est de participer » n’avait certainement pas été créée pour lui. Quel intérêt de participer. Il se fichait pas mal des participations, un participant ne sera jamais célèbre. Est-ce que quelqu’un se souvenait de tous ceux qui étaient tombés face à Voldemort. Non bien sûr que non peu importait leur mort. Par contre tout le monde se souvenait de qui l’avait décimé et sa gloire avait permis à ceux qu’il connaissait vivant ou mort d’être cité. L’esprit de Julian n’était pourtant pas sombre, il ne faisait pas de mal aux gens pas plus qu’il n’aimait la méchanceté gratuite mais si pour aller au sommet de la gloire il fallait utiliser les coups bas il les utiliserait. Il avait encore beaucoup de chose à apprendre de la vie mais pour le moment son esprit s’était bloqué sur cela. Pour gagner le trophée des quatre maisons il fallait avoir l’esprit de combativité, et non seulement il fallait ne lier aucun lien avec les habitants de Gryffondor Poufsouffle et Serdaigle mais mieux les pousser à la faute semblait être le plus recommandé.

La prochaine lettre pour Théo attendrait quel besoin celui-ci avait-il de savoir que le patronus de son enfant représentait une mésange. De plus connaissant son père celui-ci ne manquerait pas d’en parler à tout le monde pas uniquement Amy et les autres Serpentard et il n’était pas le seul enfant fils d’anciens sorciers vivant ici et pas spécialement envie que tout le monde se foute de lui. En parlant de ça un gamin semblait bien rigoler, le sang froid de Julian le quitta en voyant des larmes de joies rouler sur les joues de l’enfant. Le sang battant contre ses tempes tandis que ses traits se crispaient à l’idée qu’il puisse se moquer de lui, il dégaina sa baguette, comme certains chevaliers dégainent leur épée et le ton glacial qu’il prit pour s’adresser à lui aurait pu sans nul doute glacer les plantes avoisinant le jardin de ses parents.

« Je te conseille petit idiot d’arrêter de te moquer de la tête du monde si tu ne veux pas que je m’entraîne à lancer des sorts sur ta personne »

La menace avait été prononcée sans que le ton du jeune Gill soit monté dans les aigus, signe qu’il était parfaitement maître de lui-même. Le sourire du jeune, un rapide regard sur sa broche, Gryffondor se figea sur son visage tandis qu’une veine battait furieusement sur son front prenant certainement sa menace très au sérieux. Toute bonne chose ayant une fin et tandis qu’il déglutissait longuement comme s’il allait s’évanouir de frayeur, la baguette arrêta d’appuyer sur son coup laissant tout de même la trace de son bout. Peut-être que le Serpentard avait un peu trop appuyé oh qu’importe de toute façon les Gryffondors pour ce qu’il en savait ne valait pas grand-chose même si son père éprouvait une sincère amitié envers certains. Surement que pour être aussi haut placé dans le ministère de la magie il fallait s’entendre avec le plus de personne et surement que Julian risquait d’en prendre pour son grade si ça venait à se savoir mais toutes les baguettes se ressemble n’est-ce pas ? Et entre la parole d’un marmot d’une dizaine d’année et la sienne il avait de bonne chance d’être cru. Secouant la tête d’un air amusé, tandis que le gamin s’effaçait rapidement comme s’il avait un démon aux trousses, Julian prit la direction opposé et rentra pour ainsi dire dans une sale petite gamine fouine qui se trouvait là juste à ce moment.

Sans dire le moindre mot il la détailla elle aussi à son tour, Gryffondor. Ce n’était pas possible tous les élèves de cette foutue maison c’était donné rendez-vous ici. Non mais il faudrait peut-être qu’ils arrêtent d’envahir les couloirs comme des gros cafards s’en était franchement désagréable pour les autres. Bon arrêtons les pensées négatives certaines personnes ont le droit d’être ici après tout celle-là ne semblait pas particulièrement se foutre de sa tronche au sujet de son patronus. Peut-être n’était-elle pas au courant, quelle joie cela serait. Non ses traits semblaient plutôt inquiets. Avait-elle eu peur pour son cadet. Possible et contraignant surtout deux paroles contre une faisait le poids. Il grimaça tandis qu’il haussait les sourcils avant de demander essayant tant bien que mal de rester maître de ses émotions.

« Je ne supporte pas les moqueries, à moins que ce soit les gamins en eux même que je ne supporte pas. Rassure toi j’aurais agis de la même manière si ça avait été un Poufsouffle ou un Serdaigle »Pour lui faire plaisir ou se donner bonne conscience, et certainement parce que c’était aussi la vérité « ou même un Serpentard d’ailleurs. Pourquoi fais-tu toujours cette tête ? C’est rien je n’aurais pas risqué de me faire renvoyer ou qu’on envoie une lettre à mes parents pour un mioche. »

Pour une fois il aurait adoré avoir la présence de sa meilleure amie à ses côtés. La présence d’un Serpentard était toujours bénéfique pour lui et il semblait que cette fille ait des remontrances à lui faire. Il priait pour que la malchance ne l’ait pas rattrapé et qu’il ne soit pas tombé sur un préfet dans ces cas-là, vu que ces enquiquineurs étaient toujours à la recherche d’un bon point à avoir, nul doute qu’il allait passé une sale journée. A ce sujet, il n’avait jamais compris comment ses parents avaient fini préfet alors qu’ils ne foutaient rien, absolument rien et qu’ils semblaient passer plus de temps à se massacrer verbalement plutôt qu’à bosser. A bien y réfléchir si tous les préfets étaient comme ça la vie serait bien plus agréable et il ne resterait pas face à l’autre fille qui semblait ressembler à une carpe bien que sa bouche ne soit pas ouverte comme si elle ne comprenait absolument pas ce qu’il disait. C’était un bon point déjà elle comprenait ce qu’il disait. Si seulement ça pouvait l’aider à parler. Il préférait encore qu’elle lui cri dessus vis-à-vis de son comportement envers son collègue plutôt qu’elle reste à le fixer comme ça. Peut-être devrait-il s’éloigner. Après tout il s’en tapait pas mal de ce qu’elle pensait et puis si tous les Gryffondors c’était donné rendez-vous ici c’était la solution la plus sage que de s’attirer des ennuis. Quoi qu’une bonne bagarre pouvait aussi lui plaire, quel plaisir de se montrer supérieur aux autres et de triompher de plusieurs adversaires, hum si sa carrure était loin d’être frêle et ses abdos pouvaient se compter aisément il n’était pas assez stupide pour ne penser qu’un seul instant qu’il aurait l’avantage face à plusieurs adversaires qui se battaient ensemble. La vie était injuste pour le coup.

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