eliott james clarck

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Jeune homme énergique de la maison des Serdaigle, connu pour son esprit de compétition et son acharnement sur le travail bien fait, Eliott n'a pas sa langue dans sa poche et prend un malin plaisir a remettre en place les personnes trop sures d'elles. Assez sociable et fêtard sur les bords, il pourrait passer sa vie a jouer au Quidditch et parler aux filles si les études n’étaient pas si importantes. Ne perd jamais son sang-froid, sauf en présence de Kimbe', qui a la fâcheuse manie de l'entrainer dans de drôles de situations. Même s'il peut paraitre "je m'en foutiste" au premier regard, Eliott est un jeune homme qui accorde beaucoup d'attention à ses amis. Entêté, sur de lui, mauvais perdant, ou bien charmeur, sportif et travailleur, les facettes de ce garçon varient selon ce qu'il veut vous présenter de sa personne. Cependant, ses plus proches amis le connaissent trop bien pour se laisser berner, c'est pourquoi il ne leur cache aucun trait de son caractère. Eliott a des cheveux châtain clair, légèrement bouclés, qu'il lui est presque impossible de coiffer. Ses yeux sont assez allongés et de couleur bleu clair, créant depuis qu'il est tout petit un contraste flagrant avec la couleur de sa peau, qui est très bronzée, une marque de la Californie qui ne l'a jamais quitté. Avec ses dents blanches et sa silhouette sportive, il est le stéréotype du parfait californien qu'on aperçoit dans les séries moldues américaines. Nul ne sait comment il arrive toujours à se blesser les jambes, mais on peut y voir plusieurs griffes et bleus lorsqu'il est en short. Elie' est assez mignon et le sait, il n'a pas hésité à se servir de ses attraits physiques pour charmer les filles pendant les soirées auxquelles il participait. Son style vestimentaire n'est pas vraiment particulier. Elie' a été habitué aux vêtements de marque depuis son enfance, et n'a pas changé de style depuis. Il aime les vêtements moldus dans lesquels il se sent bien et qui le mettent en valeur. Il fait attention à son physique, et ne sortira jamais habillé 'comme un sac', question de principe.. Il est un peu trop fier pour ça. Les jeans et les sweatshirt sont ce qu'il porte le plus, sauf lors de soirées, où la chemise est de sortie ! En bon Serdaigle qui se respecte, Eliott est un élève assidu. Il s'est demandé plus d'une fois pourquoi il avait été envoyé chez les aigles, car il semblait avoir quelques difficultés à réaliser ce que certains membres de sa maison réussissaient du premier coup. De ce fait, le garçon fait des efforts, qui sont récompensées par ses bonnes notes. Il n'est peut-être pas le plus brillant élève de sa maison, mais il a l'esprit vif, et une curiosité sans limite qui le pousse à vouloir en apprendre plus chaque jour. Attention, cela ne veut pas dire qu'il est un élève parfait sur tous points. Il lui arrive de chahuter en cours, dormir en Histoire de la magie, ou griffonner des dessins sur ses feuilles de parchemin, comme tout être humain normalement constitué, selon lui.. Bon d'accord, peut-être que le chahut est de trop. Mais turbulent comme il était avant son entrée à Poudlard, Elie' eut beaucoup de mal à faire profil bas dans sa nouvelle classe. Surtout lorsqu'un esprit vantard comme le siens ne serait pas contre l'idée de se faire remarquer. Eliott a grandi dans un milieu très aisé, auquel il ne s'est jamais vraiment accommodé. Il est né en Californie, et aujourd'hui encore, les gens le remarquent souvent grâce à son physique stéréotypé. Ses parents étaient et sont tous deux des moldus, qui se soucient bien plus de leur carrière que de leur famille. Ils ne considéraient pas comme utile d'utiliser une part de leur temps précieux pour s'occuper de l'éducation de leur fils. Aussi, dès son plus jeune âge, Elie' fut placé sous la garde de sa nourrice, du nom de Mika. Le garçon la considère d'ailleurs comme sa seule vraie mère, car elle fut bien plus présente pour lui que ses deux parents. Elle le conduisait à l'école chaque matin, venait le rechercher, le réprimandait lorsque c'était nécessaire, et se pliait souvent en quatre afin de lui faire plaisir. Eliott l'adorait, il ne se sentait jamais seul grâce à elle. A l'âge de ses sept ans, ses parents divorcèrent et le petit garçon fut placé sous la tutelle de sa mère, qui l'emmena vivre en Angleterre avec lui. Mika, à la joie du petit garçon, les suivit au Royaume-Unis. Jusqu'à son entrée à Poudlard, Elie' voyait son père à chaque vacance. Pour combler le vide, ce dernier lui offrait tout ce dont il rêvait. Sa mère quant à elle, partait souvent en séminaire, laissant d'abord Eliott avec Mika. Puis, à l'âge de ses neuf ans, sa chère nourrice fut congédiée. Elie' ne pardonna jamais ce geste à sa mère, qui ne comprit jamais à quel point il pouvait être attaché à Mika, bien plus qu'il l'était à elle. Jusqu'à l'âge de ses onze ans, il vivait la plupart du temps presque seul, se faisant livrer des plats, sa mère payant tout par correspondance. Il renia d'abord cette liberté, puis décida de se venger en en profitant pleinement, et de faire ainsi ce qu'il voulait. C'était comme une sorte d'appel au secours. C'est ainsi que le garçon devint violent, turbulent, impoli et insolent, bref, insupportable selon ses professeurs. Puis, il se mit à expérimenter différents loisirs, tentant de combler ce vide par tous les moyens possibles. Piano, football, surf, guitare, boxe, une nouvelle envie germait chaque jour dans son esprit. Il abandonna finalement toutes ces occupations, au grand dam de certains de ses professeurs qui voyaient en lui d'immenses capacités - pas étonnant s'il se donnait à fond. Seul son meilleur ami comprenait vraiment ce qu'il se passait dans sa tête. Il restait avec lui la plupart du temps et à vrai dire, la grande maison d'Eliott était un peu devenue la leur. La directrice ne pouvait plus le gérer. Eliott était à deux doigts de se faire renvoyer lorsqu'il reçut une lettre de la part du directeur de Poudlard. Ce fut seulement arrivé là bas que le jeune homme se calma réellement. Sa vraie famille était ici, dans le monde des sorciers, c'est là qu'il avait enfin trouvé sa place. Elie se révéla être un garçon sociable et enjoué, qui se fit rapidement un grand cercle d'amis : à Poudlard, il pu découvrir une nouvelle facette de lui qu'il n'aurait jusqu'à alors jamais soupçonnée. Eliott mit un certain temps à s'adapter à ce train de vie que la première année lui imposait. Le plus dur fut certainement de trouver ses repères dans ce château, car les nombreux couloirs identiques faisaient de cet endroit un vrai labyrinthe, et les escaliers mouvants ne facilitaient pas les choses. Le garçon ayant prit ses repères au château, il lui était plus facile de s'y retrouver lors de sa deuxième année. Il avait enfin ses marques, et vivait une nouvelle année où supporter les matchs de Quidditch, travailler dans la salle commune, parler aux fantômes, et participer aux banquets d'Halloween et de Noël devinrent des évènements de la vie de tous les jours auxquels il était désormais habitué. Elie' choisit l'arithmancie et la divination comme option supplémentaires pour sa troisième année, décisions qui avaient de bonnes et mauvaises conséquences.. Il détesta la divination, basée sur des études superficielles et des discours tellement soporifiques qu'Eliott cru qu'il allait s'endormir à plus d'un de ces cours. Il fait de son mieux pour avoir de bonnes notes, mais la divination reste sa pire matière, et par conséquent son pire choix. Il ne comprend pas l'intérêt de ce sujet, et se demande encore pourquoi est ce qu'il a laissé ses amis décider pour lui. L'arithmancie devint cependant une de ses matières préférées, dans laquelle il eut des notes très satisfaisantes. Il trouvait chaque cours très intéressant, et sortant un peu de l'ordinaire du monde sorcier. Il put également apprécier les sorties à Pré-au-Lard qui lui étaient désormais accessible, et passa ce qui du être le meilleur hiver de sa vie depuis son entrée à Poudlard. Les professeurs commencèrent dès la quatrième année à mettre la pression aux élèves en ce qui concernait leurs B.U.S.E, qui n'auraient pourtant lieu que deux années après cette annonce. Eliott se décida à travailler davantage afin de pouvoir garder un rythme constant lors de chaque cours (excepté la divination peut-être, mais soyons positifs, il redoublait d'efforts pour chaque autre cours!) et ne pas se sentir à la traîne sur certaines leçons ou devoirs. Ce fut lors de cette même année que son père lui offrit pour Noël un excellent balai, commandé par le biais de son frère sorcier, sachant qu'Elie avait développé un intérêt particulier pour le vol. Il passa dès ce jour de nombreuses heures à voler à l'extérieur, sur le terrain de Quidditch, lorsque celui-ci n'était pas occupé par les joueurs qui s'entraînaient. Elie' passa une cinquième année sur les nerfs, à cause de la pression causée par les professeurs qui ne cessaient de répéter que les B.U.S.E approchaient à grand pas, et qu'il n'était plus l'heure aux plaisanteries. A croire que ne pas avoir assez de B.U.S.E signifiait clairement rater sa vie. Il s'en sortit néanmoins, obtenant de très bons résultats qui satisfirent son père. Le jeune homme continua à s'entraîner au Quidditch, désireux d'apprendre quelques acrobaties aériennes. Voler procurait une sensation d’allégresse, de liberté, un sentiment qui lui était très précieux lorsqu'il souhaitait se changer les idées. Ce fut également lors de cette dite cinquième année qu'il fit la connaissance de Kimberley Anne Watson, une demoiselle qui lui apparu comme la personne la plus exécrable de ce château dès leur première rencontre. Eliott avait fait une plaisanterie (apparemment de mauvais goût) à l'une des amies de la jeune fille, qui s'était mêlée de leurs histoires sans aucune gêne. Elie' ne mâcha pas ses mots afin de la remettre à sa place, et une dispute commença. Il ne pensait plus jamais la revoir, jusqu'à ce qu'il comprenne que sa bande d'amis était devenue très proche des demoiselles que fréquentait Kimbe'. Ils furent obligé de passer beaucoup plus de temps ensembles que prévu, afin de rester avec leurs amis, mais le jeune homme réalisa vite qu'il ne pouvait s'empêcher de lui lancer des piques à tout bout de champs. La voir s'énerver était non seulement drôle, mais procurait une étrange sensation de satisfaction. Trouver mille et une façon de remettre cette miss je-sais-tout à sa place devint un jeu qu'il considérait comme très amusant. Et avant qu'Eliott ne s'en rende compte, une étrange complicité naquit entre eux, et transforma leurs disputes en chamailleries.. Bien que les prises de bec ne disparaissaient pas totalement, au contraire. — NON ! Tu te souviens de la dernière fois où j'ai du te payer ta Gazette du sorcier parce que t'avais plus d'argent et que le hibou s'attaquait à mes céréales ? Ou alors quand tu n'as pas voulu me prêter ton balai pour un entrainement alors que j'avais perdu le mien ? Ou quand je me suis tapé une heure de colle parce que j'étais considéré comme responsable pour le hurlement que TU avais poussé en traversant le baron sanglant ? Ça fait trois excellentes raison pour ne pas te donner mon sandwich Kimbe'! C'est avec une grand honte qu'Eliott réalisa au final qu'il avait du mal à se passer de sa compagnie. Ils passaient les trois quarts de leur temps libre ensembles, avec leurs amis, ou simplement à deux. Eliott se sentait insouciant lorsqu'il restait avec elle. Il trouvait Kimbe' incroyablement énervante, et pourtant tellement attachante qu'il du se rendre à l'évidence qu'il l'appréciait. Pourtant, les gens avaient beau lui répéter qu'ils étaient désormais comme des meilleurs amis, ce n'est toujours pas la définition qu'il donnerait. Sa relation avec la Serdaigle est trop étrange, surtout depuis qu'il s'est rendu compte qu'il était jaloux de chaque garçon qu'elle évoquait, ne serait-ce que rapidement. Plutôt dérangeant, surtout qu'ils continuaient de passer leur temps à se chamailler, puis se réconcilier dans la seconde qui suit. Elie' entame désormais sa sixième année à Poudlard, avec un nécessaire à balai et de nombreux vêtements que son père lui envoya en récompense de ses bons résultats aux B.U.S.E. Il put réfléchir à sa situation avec Kimbe' pendant les vacances, et du quand même se rendre à l'évidence que si la jeune fille commençait à fréquenter un garçon, il n'y serait pas insensible. Alors quoi ? Il n'en sait rien. Mais désormais, l’ambiguïté s'est installée entre eux, même s'ils essaient de conserver la même entente que celle qu'ils ont eut toute au court de l'année. Difficile ? Oui, beaucoup trop ! Il la trouve de plus en plus attirante, et ne sait plus comment se comporter dans certaines situations, ce qui l'amène à devenir plus lunatique que jamais. L'étudiant continue à travailler dur et profiter de son temps libre en faisant la fête, espérant une fois de plus gagner la coupe des quatre maisons cette année !

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